Une des activités qui me manque du Québec, c’est la cueillette de pommes.
L’an dernier, une amie qui habite plus au nord de la Californie publiait des photos de sa cueillette de pommes… Je me suis dit : Oh! Serait-ce que je pourrais pousser mes recherches et trouver des vergers dans mon coin?
OUI!
Ici, c’est à Oak Glen que nous allons. Disons que nos expériences ne sont pas comparables avec une sortie aux pommes à l’île d’Orléans, mais je dois accepter que je suis maintenant en Californie et ce n’est pas le même deal!
Pour l’instant, je dois dire que nos deux expériences ont été moyennes, pour des raisons différentes, mais je suis tout de même satisfaite parce que j’ai de belles photos de nos sorties.
L’an dernier, alors que je réalise (à la mi-octobre) que nous pourrions aller cueillir des pommes, nous nous rendons finalement aux vergers pour ne cueillir aucune pomme. Notez que j’écris vergers au pluriel parce que ce n’est pas faute de ne pas avoir fait le tour. Plus aucun n’offrait l’autocueillette. Premièrement, nous étions un peu tard dans la saison, et l’an dernier a été un mauvaise saison pour eux. Résultat : nous avons bien aimé le décor et j’ai de belles photos 🙂
Cette année, croyez-moi, j’étais prête dès septembre 🙂 Nous y sommes allés une fin de semaine pendant les grosses chaleurs. Et quand je dis grosse chaleur, ça tourne autour de 38 degrés Celsius. On croyait se sauver de quelques degrés et aller chercher un peu de fraîche dans les montagnes. OUF! Cueillir des pommes à 37 degrés, c’est assez intense je vous jure! Si j’ajoute à ça que j’avais un bon rhume (juste un mauvais timing) et à notre avis, revenir avec un mini sac de pommes pour 24$ nous a semblé un peu cher, mais bon, c’est personnel 🙂
Conclusion après deux ans : Je ne sais pas si nous allons en faire une activité annuelle aussi rigoureuse qu’à Québec, mais si j’en ai envie, j’en ai la possibilité.
C’est ce qui rend la Californie encore plus magnifique à mes yeux. On peut y trouver une multitude de choses (des pommes, de la neige, du vin, la plage). Tout ce qu’il faut, c’est de choisir le bon endroit, le bon climat, la bonne altitude :o) Après quelques années, le rêve Californien ne s’arrête pas qu’aux plages à perte de vue, c’est aussi tout ce qu’on peut y trouver d’autre, selon nos goûts.
J’ajoute quelques photos, pour le bonheur de ma mère 🙂