Épicerie
Je pense que ça restera un petit débat. Selon les gens avec qui je parle, selon les produits que nous achetons, selon l’endroit où nous allons, il y a des avis différents.
Pour nous, en ajustant notre budget quelques fois par année avec les dépenses réelles, nous avons remarqué que nos dépenses alimentaires étaient un peu moins élevées qu’au Québec.
Pour donner mon comparatif, j’allais chez Métro, IGA et au jardin mobile. Ayant gardé sensiblement les mêmes habitudes ici, mes frais d’épiceries sont un peu moins élevés. Il y a de gros rabais avec les cartes membre (et les cartes sont gratuites). Que ce soit le poulet à 50% de rabais aux 5 à 6 semaines ou le lait qui coûte tout près de la moitié de ce que je payais à Québec, au bout d’une année, après comparaison, ça paraît.
Oui, nos habitudes sont sensiblement les mêmes, mais il faut tout de même que je pense au fait que nous faisons plus de voyage, que nous n’avons plus de famille tout près et que nos habitudes alimentaires changent, que ce soit à cause de l’endroit, de la température ou juste le temps qui passe. Ces différences peuvent aussi jouer sur le compte total de l’épicerie, mais je suis encore d’avis qu’à mon arrivée, j’étais parfois impressionnée du coût moins élevé de certains produits.
Boisson
Et bien voilà un bel exemple de produit qui n’est pas géré par le système public.
J’ai ajouté la boisson dans le même article que l’alimentation parce que nous y trouvons une bonne sélection en épicerie, au 1/3 du prix.
Pour ajouter à cette économie, notre épicerie du coin offre 30% de rabais à l’achat de 6 bouteilles. Je ne suis pas une experte, mais la sélection est bonne. Si je compare avec ce que nous buvions au Québec, j’y retrouve facilement les mêmes, pour une fraction du prix.
Nous avons un magasin, Total Wine, que je compare à la SAQ pour le côté produits spécialisés, experts sur place et divers articles (coupe, refroidisseur, etc.).